A terme, les conséquences d'une surcharge pondérale, et en particulier de l'obésité, peuvent être extrêmement graves. Il est donc important de s'attaquer énergiquement au problème.
Une étude européenne, incluant la Belgique, montre que le surpoids de l’enfant est directement lié à la durée du sommeil. A ceci s’ajoutent les facteurs classiques, comme l’alimentation et l’activité physique.
La prévention de l’obésité infantile commence dès le biberon, dont l’usage prolongé comme contenant principal de boisson doit être considéré comme un facteur de risque.
Une spécialiste américaine décrit les sept principaux facteurs de risque évitables de la maladie d’Alzheimer. Elle affirme qu’ensemble, ils sont à l’origine de la moitié des cas !
Des chercheurs espagnols considèrent que l’ingestion de mélatonine pourrait contribuer à combattre l’obésité et les risques cardiovasculaires qui lui sont liés.
Les personnes qui travaillent en position assise doublent leur risque de cancer du côlon, à partir du moment où cette activité professionnelle s'étale sur plus de dix ans.
Dans le cadre d’un régime amaigrissant, le « petit plaisir » - une fois par semaine, souvent - du dessert calorique est particulièrement contre-productif.
Tordons le cou à une idée reçue qui veut que les pommes de terre fassent grossir. Ce n'est pas du tout le cas, du moins lorsqu'on les consomme cuites à l'eau ou à la vapeur et en quantité raisonnable.
Dans un régime amaigrissant, le plus difficile, souvent, n’est pas tant de perdre des kilos que de ne pas reprendre du poids. Or, l’effet « yo-yo » est fréquent, et particulièrement décourageant.
L’obésité accroît notablement la probabilité de succomber lors d’un accident de voiture, selon une étude américaine. Le risque de mortalité augmente de 21 à 56% chez les conducteurs en surpoids.
Une écrasante majorité des personnes qui ont suivi le régime Dukan, et qui se trouvent en phase de stabilisation, se disent satisfaites de la méthode d’amaigrissement.
Des chercheurs américains ont mis au point une nouvelle mesure qu’ils estiment plus précise que le classique indice de masse corporelle (IMC) pour évaluer l’excès de poids.
Des chercheurs ont comparé la prévalence et la localisation des fractures chez les femmes ménopausées, selon qu’elles soient ou non obèses (IMC supérieur à 30).
L’obésité, déjà identifiée comme facteur de risque cardiovasculaire et de développement du diabète (de type 2), pourrait favoriser l’émergence du cancer du sein.
Les femmes enceintes souffrant d’obésité présentent une probabilité nettement plus élevée de connaître une grossesse prolongée, de subir un déclenchement artificiel du travail et d’accoucher par césarienne.
Une étude conduite par des chercheurs américains affirme que les horaires de travail de la mère peuvent constituer un facteur de risque « indiscutable » d’obésité de son enfant.
Une carence en vitamine D à la naissance s’accompagne d’un risque accru d’infections respiratoires – en particulier la bronchiolite - au cours de la petite enfance.
Il ne faut pas en tirer de conclusions absolues et définitives, mais quand même : au terme d’une étude extraordinairement large – que le risque de décès est similaire chez les personnes présentant un indice de masse corporelle (IMC) trop élevé, ou trop bas.
Il est recommandé pour limiter les risques de cancer d’opter pour une alimentation variée et équilibrée plutôt que de miser sur des suppléments alimentaires.
Selon les résultats d’une étude commandée par l’Association française pour la recherche thermale, et conduite par deux médecins nutritionnistes, une cure thermale serait plus efficace qu’une prise en charge par un médecin généraliste en vue de perdre durablement du poids.
