Les personnes confrontées à des comportements de rejet, notamment liés à la discrimination raciale, s’exposent à un risque cardiovasculaire accru.

La littérature médicale rapporte le cas d’une dame décédée à la suite d’une crise de fou rire.

Des apports quotidiens élevés en fruits et en légumes réduisent le risque de crise cardiaque.

La ménopause précoce est associée à un risque notablement accru d’infarctus et d’accident vasculaire cérébral (AVC).

La consommation modérée d’alcool après un infarctus est associée à un effet favorable sur la mortalité.

La pollution atmosphérique liée à la circulation automobile n’est pas le seul facteur de risque pour la santé : le bruit intervient aussi, et nettement.

Le jour de son anniversaire, le risque de décès est augmenté de 14% par rapport aux autres jours de l’année.

Le risque de mort subite coïtale augmente en flèche lorsque l’homme entretient un rapport sexuel avec sa maîtresse.

La douleur thoracique intense est un signal important pour soupçonner une crise cardiaque, mais il n’est pas exclusif, et encore moins chez la femme.

Un patient de 71 ans a été victime d’un double arrêt cardiaque touchant simultanément ses deux cœurs.

La perte d’un proche accroît considérablement le risque de souffrir d’un infarctus dans les jours et les semaines qui suivent.

La crainte de compliquer leur état de santé conduit beaucoup de patients souffrant d’une maladie cardiovasculaire à réduire la fréquence des rapports sexuels, voire à les bannir.

Chez les moins de 40 ans, surtout les femmes, des antécédents de dépression et/ou de tentative de suicide font exploser le risque de mourir d’une crise cardiaque.

L’association entre une mauvaise santé bucco-dentaire et le risque de maladies cardiovasculaires est connue. Des chercheurs ont quantifié les bienfaits d’un détartrage régulier.

L’acide glycyrrhizique, le principe actif de la réglisse, peut être à l’origine de troubles cardiaques, prévient l’autorité sanitaire américaine.

Des chercheurs français ont mis au point des microcapsules qui, administrées directement dans le muscle cardiaque, stimulent la croissance de nouveaux vaisseaux.

Les papillomavirus humains (HPV), responsables du cancer du col de l’utérus, seraient liés à un risque cardiovasculaire accru chez certaines femmes.

Une nouvelle étude confirme que la consommation (même élevée) d’œufs n’augmente pas le risque de souffrir d’un accident cardiovasculaire.

Des journées de travail trop longues ont été identifiées comme un risque majeur de crise cardiaque.

Profession, famille, vie sexuelle… : au plus le degré de satisfaction est élevé, au moins l’individu s’expose au risque de maladie cardiovasculaire.

Après avoir analysé des millions d’enregistrements de décès, un chercheur américain conclut que le jour du versement du salaire, et durant la semaine qui suit, le taux de mortalité explose.

La technique permettrait de diminuer de 47% le risque d’infarctus, mortel ou non, chez des patients cardiaques sous traitement « classique ».

Ce sont les gestes apportés dans les premières minutes qui suivent un arrêt cardiaque qui détermineront les chances de survie. Mais encore faut-il reconnaître un arrêt cardiaque !

L’ablation des amygdales, et dans une moindre mesure de l’appendice, augmenterait le risque de crise cardiaque prématurée, lorsque l’intervention survient avant l’âge de 20 ans.

Les patients qui ont ressenti une peur intense de la mort lors d’un infarctus accusent des lésions cardiaques plus graves et sont davantage à risque de rechute.

Lorsque l’infarctus survient dans la matinée, les lésions cardiaques sont plus étendues que quand la crise cardiaque frappe durant la soirée.

Utilisés dans le cadre de l’ostéoporose, les suppléments de calcium ont été soupçonnés d’induire un risque accru d’infarctus du myocarde. Qu'en est-il ?

Les personnes qui passent plus de deux heures par jour assises devant un écran – et ceci en dehors de leurs activités professionnelles – s’exposent à un risque considérablement plus élevé de souffrir d’un accident cardiaque.