Des chercheurs australiens ont réussi, grâce à des protéines extraites du venin d’araignée, à stopper la croissance de cellules cancéreuses humaines… injectées à des souris.

Le tabagisme après la ménopause accroît les niveaux d’hormones sexuelles, dont des taux élevés constituent un facteur de risque de cancer du sein et de l’endomètre, ainsi que de diabète de type 2.

Des résultats très prometteurs pour un médicament en phase d'essai.

Les femmes qui consomment cinq tasses, ou davantage, de café par jour s’exposent à un risque moindre de souffrir d’un certain type de cancer du sein, par rapport à celles qui en boivent rarement.

Contrairement à ce que beaucoup pensaient jusqu’à présent, les femmes traitées pour un cancer du sein auraient tout intérêt à soulever des charges pour prévenir la formation d’un lymphoedème aux bras.

Les rapports sexuels ont des effets protecteurs contre certaines maladies graves. Une étude écossaise affirme que trois câlins par semaine allongent de dix ans la durée de vie !

L’obésité, déjà identifiée comme facteur de risque cardiovasculaire et de développement du diabète (de type 2), pourrait favoriser l’émergence du cancer du sein.

Le tabagisme avant la ménopause, et en particulier avant la première maternité, est associé à une augmentation du risque de cancer du sein.

Prendre des hormones de substitution à la ménopause augmenterait le risque de développer un cancer du sein. Mais tout dépend du moment où débute le traitement.

Pratiquer une activité physique étalée sur deux heures et demie par semaine joue un rôle essentiel dans la prévention du cancer, en particulier du sein et du côlon.

Le risque de souffrir d’un cancer du sein pourrait être divisé par deux chez les femmes qui ont intensément ressenti les troubles liés à la ménopause, et en particulier les bouffées de chaleur.

Une mammographie annuelle permet de réduire notablement le risque de mortalité par cancer du sein chez les femmes présentant des antécédents familiaux de la maladie, selon une étude réalisée par des chercheurs britanniques.

A l’occasion d’un congrès organisé par l’Association française pour la recherche sur le cancer et l’Institut national du cancer, plusieurs chercheurs ont fait état d’études qui établissent un lien entre le travail de nuit et le risque de développer un cancer du sein.

On se souviendra du tremblement de terre et du vent de panique qu’avait provoqué la publication, en 2002, d’une étude américaine établissant un lien entre l’administration d’un traitement hormonal de substitution (THS) aux femmes ménopausées et un risque accru de développement du cancer du sein.

Assez rare, le cancer du sein chez l’homme n’en est pas moins une réalité. Dans ce contexte, et se fondant sur le principe de précaution, le Centre belge de pharmacovigilance attire l’attention sur l’administration de finastéride lorsque ce médicament ne s’impose pas.