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Sclérose en plaques : une percée prometteuse
news Les chercheurs indiquent eux-mêmes qu’il faudra au moins dix à quinze ans avant que leur découverte aboutisse à la mise au point d’un traitement. Néanmoins, leur percée est prometteuse, et peut donner un espoir – raisonnable à ce stade, mais potentiellement formidable - aux patients atteints de sclérose en plaques.
Les équipes des Universités de Cambridge (Angleterre) et d’Edimbourg (Ecosse) qualifient leur percée de « majeure ». Coordinateur de ces recherches et directeur du Centre pour la sclérose en plaques de l’Université de Cambridge, le Pr Robin Franklin explique en fait avoir identifié « un moyen » grâce auquel les cellules souches du cerveau « peuvent être encouragées à réparer les dommages causés par la sclérose en plaques ». Cette maladie grave se traduit par une détérioration de la myéline, l’enveloppe des fibres nerveuses du cerveau et de la moelle épinière. La sclérose en plaques évolue lentement, par poussées et rémissions. A terme, des séquelles fonctionnelles lourdes peuvent s’installer. « Notre méthode ouvre la possibilité d’une nouvelle thérapie régénératrice de cette maladie », souligne Robin Franklin. Des essais cliniques pourraient démarrer dans le courant des cinq prochaines années.














