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Bien dans sa tête, bien dans son corps : comment y arriver ?

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Le bien-être mental exerce une réelle influence sur la santé physique, en particulier cardiovasculaire. Et on peut apprendre à se sentir mieux !
Le bien-être psychologique, on pense notamment à l’optimisme, constitue un élément important de la bonne santé en général, et plus spécifiquement de la santé cardiovasculaire. Et ceci sur deux plans majeurs, indique cette équipe américaine (université Harvard) : en prévention et en gestion, avec une influence sur un éventail de facteurs de risque cardiovasculaire, comme la mauvaise alimentation, la sédentarité et le stress.
En fait, « les connexions entre le bien-être et la santé cardiovasculaire reposent sur des paramètres biologiques, comportementaux et psychosociaux ». Il est ainsi démontré qu’un état de bien-être mental incite à pratiquer une activité physique régulière, ainsi qu’à mieux s’alimenter (pensons à la consommation de fruits et de légumes), tout en abordant les situations de stress avec davantage de sérénité.
Mais peut-on « apprendre » l’optimisme ? Les spécialistes estiment que des techniques peuvent contribuer à améliorer le bien-être mental, comme la méditation de pleine conscience, le yoga ou le tai-chi. Ils concèdent cependant que des études approfondies sont nécessaires pour mieux comprendre les mécanismes qui sous-tendent cette relation entre le bien-être psychologique et la santé cardiovasculaire, et pour déterminer dans quelle mesure des programmes axés sur le mental peuvent améliorer les paramètres cardiovasculaires.