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Stress : s’en servir pour mieux rebondir

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Dans la savane, l’antilope, qui vient de repérer la présence menaçante d’un lion, démarre au quart de tour et s’élance dans un galop effréné, le félin à ses trousses. Le stress de l’antilope affolée est à son comble et se communique au reste du troupeau qui s’enfuit de tous côtés. Ce n’est que lorsque l’antilope astucieuse parvient à lui échapper que le calme revient instantanément dans la savane. Comme s’il ne s’était rien passé.
« Nous fonctionnons de la même façon », explique Patrick Collignon, coach, conférencier et auteur de « Merci mon stress ! ». « Notre cerveau a cette même capacité de réagir quand quelque chose arrive. Le stress est instinctif, il existe depuis toujours, il nous permet, comme on le voit dans l’exemple de l’antilope, d’être plus rapide et plus fort. Il assure ainsi notre survie… sauf que lorsque celle-ci n’est pas en danger – ce qui est le plus souvent le cas aujourd’hui – le stress est alors rarement productif. Bien sûr, s’il s’agit de piquer un sprint pour attraper son train et qu’on y parvient, c’est pareil : la petite poussée d’adrénaline a fait son effet et le stress retombe immédiatement. »
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