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Un chiot arrive à la maison : pas facile les premiers jours… Voici quelques conseils qui aideront à surmonter ces moments difficiles.
L’épreuve est surtout pénible à vivre pour le jeune chien, brutalement séparé de ses congénères et plongé dans un univers dont il ignore tout.
• L’alimentation. Il ne sera pas superflu de demander à l’éleveur ou au vendeur de vous fournir quelques réserves de la nourriture à laquelle le chiot était jusque-là habitué. Le temps de demander conseil au vétérinaire pour passer à autre chose, la transition se fera plus en douceur.
• Le repos. Petits et grands doivent comprendre qu’après les caresses de bienvenue, le chiot doit se reposer. Ce n’est pas une poupée : le cajoler, oui, se le passer de bras en bras tout au long de la journée, non.
• Le panier. Celui que vous avez prévu est probablement trop grand. Pour que le chiot puisse bien se caler, il est utile de placer un carton adapté à ses mensurations.
• La chaleur. Celle de sa fratrie et de sa mère va lui manquer. Il avait pour habitude de se serrer contre eux. Une bouillotte entourée d’un vieux pull lui fera beaucoup de bien, mais pas plus d’une journée. Le pull peut être utilisé durant une plus longue période : il apaisera le chiot en lui rappelant le pelage de ses congénères.
• Les pleurs. L’une des étapes les plus compliquées, surtout lors des plaintes nocturnes. Le seul conseil pertinent, c’est de ne pas céder. Le jeune chien veut, ici aussi, retrouver cette proximité qu’il partageait avec les autres chiots et les adultes. Le sevrage affectif est indispensable, et tout rentrera dans l’ordre après quelques jours. Un autre type de relation, tout aussi satisfaisante, s’organisera progressivement. Mais répétons-le : même si la tentation est grande, il est crucial de résister !
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