L’apprentissage et la pratique d’un instrument de musique renforcent des zones cérébrales importantes chez l’enfant, ce qui améliore toute une série de fonctions.

On sait que l’activité physique protège et améliore le fonctionnement cérébral, en particulier chez les aînés. Comment se produit cet effet ?

Le diabète, s’il est mal contrôlé, accélère le déclin des facultés mentales : le cerveau vieillit plus rapidement.

Un virus qui n’avait encore jamais été détecté chez l’homme semble affecter nos capacités cérébrales.

L’activité sportive contribue à une amélioration des résultats scolaires : les performances physiques et mentales de l’enfant sont étroitement liées.

Pour fonctionner de manière optimale, le cerveau a besoin d’apports suffisants en oméga-3. Le rôle de cet acide gras est multiple.

Même si on ne la parle plus, même si elle a été oubliée, la langue maternelle reste profondément ancrée dans le cerveau.

L’apprentissage d’une nouvelle langue améliore les capacités de fonctionnement du cerveau, et ceci à n’importe quel âge.

Il n’y a pas qu'une bonne nuit de sommeil qui permet de mieux mémoriser : les effets de la sieste sont eux aussi assez spectaculaires.

Si les personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer accusent de lourdes pertes de mémoire, cela ne signifie pas que l’émotion liée à l’événement disparaît pour autant.

Le jardinage peut s’accompagner d’effets extrêmement positifs pour les personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer ou d’une autre forme de démence.

Au sein de la fratrie, les uns apprennent beaucoup aux autres : il est important d’accorder du temps de jeu ininterrompu aux enfants.

On savait que le sommeil aidait à consolider les informations mémorisées pendant la journée. Mais il y a moyen d’aller encore plus loin.

La démence à corps de Lewy est beaucoup moins connue que la maladie d'Alzheimer et la maladie de Parkinson. Quels sont les symptômes de cette affection neurodégénérative ?

La difficulté à surmonter le sentiment de culpabilité est variable selon les individus en raison des différences à pouvoir se pardonner.

Les capacités cognitives des personnes bilingues maintiennent plus longtemps leur degré de performance.

Notre capacité à identifier simultanément plusieurs visages est assez limitée : l’effet de foule complique encore davantage ce processus.

La dégradation de la condition physique affecte les facultés de mémorisation, et ceci même lorsque l’état de santé général est satisfaisant.

La durée du sommeil et les activités mentales interviennent de manière cruciale dans la préservation des facultés mentales.

La plupart d’entre nous sont incapables de se souvenir des événements vécus avant l’âge de 3 ans. En fait, ils sont effacés pour laisser la place à ce qui va suivre.

L’enseignement de la musique soutient l’apprentissage de la lecture et de l’écriture chez le jeune enfant.

La hantise des mathématiques repose pour une large part sur une composante génétique. La bonne nouvelle, c’est qu’il est possible d’intervenir.

Le mode de raisonnement des adultes devrait s’inspirer de celui des enfants : leur ouverture d’esprit leur donne un réel avantage.

Les enfants et les adultes appréhendent les nombres d’une manière différente. Néanmoins, il reste toujours quelque chose en nous de notre enfance.

La vitamine E exerce un effet protecteur contre les troubles de la mémoire chez la personne âgée. Plus globalement, elle intervient de manière bénéfique dans le processus de mémorisation.

Sauf trouble particulier, la capacité de stockage des informations est similaire entre les adultes jeunes et les plus âgés : la grande différence tient à la qualité de la mémorisation.

Lorsque le cerveau n’est pas sollicité par une tâche spécifique – lire, écrire, parler… -, il passe en pilotage automatique, ce que l’on appelle le réseau du « mode par défaut ».

La consommation de trois verres d’alcool ou davantage chaque jour accélère le déclin de fonctions cérébrales importantes, comme le raisonnement et la mémoire.